Comme beaucoup de Sophrologues, je n’ai pas choisi ce métier par vocation, dès l’enfance.
La Sophrologie s’est invitée dans ma vie, comme une évidence, à l’âge mûr. A cet âge où les expérience de la vie avaient eu le temps de faire en moi leur chemin.
Professionnellement, j’ai tout d’abord été chimiste dans un laboratoire. Je me suis appuyée sur la technique, le plaisir du geste précis et de la rigueur mathématique. J’ai nourri ma curiosité, mon besoin d’investiguer, de chercher, de découvrir.
Ensuite, je suis devenue assistante de direction dans une PME. Un travail de coordination, très diversifié, qui m’a permis de développer autonomie et adaptabilité. Mais le côté adminstratif de cette fonction me pesait.
Puis une période de turbulence a commencé (problèmes de santé de moi-même et de mes proches, mal-être général, perte de sens), comme pour m’indiquer qu’il était temps de m’occuper un peu plus de moi et de donner une autre orientation à ma vie.
Et je me suis engagée sur le chemin de la recherche de l’équillibre.
Equillibre entre une tête qui n’arrête pas de penser, un corps qui peine à exister simplement, et des émotions qui ne trouvent pas la place de se dire.
Sur ce chemin, j’ai trouvé la Sophrologie, qui m’apprend à exister en harmonie, avec moi-même, avec les autres, avec le monde.
Je me suis formée à l’ Institut de Sophrologie du Sud Ouest, sur Toulouse, de 2017 à 2019.
Depuis, je transmets cette méthode, si simple et si efficace, qui s’adapte aux besoins de chacun.